Chronique de François Forestier dans L’Obs de cette semaine de Darkness 5 (homosexualité, censure & cinéma) :
Une série d’études sur le thème de “l’amour qui ne dit pas son nom” au cinéma. L’homosexualité a toujours fait l’unanimité contre elle, et il a fallu un siècle pour que sa représentation soit largement autorisée à l’écran.
[…] Les étapes de la représentation ont été franchies pas à pas, avec des soubresauts violents (notamment avec Pasolini). Homosexualité masculine dans les films du Moyen Âge, cinéma gay israélien, reflets sur du cuir noir (Cruising), la diversité des thèmes ici abordés est éclairante. Un livre somme.