Chronique de Jonathan Fanara sur le site LeMagDuCiné du livre d’Alain Cresciucci, Le Cinéma de Sam Peckinpah :
[…] “Bloody Sam” et sa “Stock Company”, comme on les a depuis surnommés, ont longtemps constitué la pointe avancée de ces artistes en rupture consommée avec les grandes structures régissant leur industrie. De tout cela, Alain Cresciucci rend parfaitement compte.