Dans le dernier numéro de La Septième Obsession, long article de Jérôme d’Estais à propos du livre Montgomery Clift, l’enfer du décor de Sébastien Monod.
Petit extrait ci-dessous.
[…] Au-delà du travail impressionnant de recherches de Monod (belle idée que la partie consacrée à l’“héritage” laissé par le comédien dans de nombreuses disciplines artistiques), le plus intéressant dans ce livre est justement ce rapport étroit et complexe entre l’acteur et l’homme, à l’aune de ses choix (instructive et détaillée section concernant les rendez-vous ratés), entre intime et collectif, visible et invisible, cette schizophrénie qui fut celle de l’acteur mais aussi d’un pays et de son industrie cinématographique.